Quelques-uns de ces sapins gisaient à terre, et il n’y avait plus qu’à les écorcer, mais ce fut là le plus difficile, vu l’imperfection des outils que possédaient les colons.
Puis, elle sortit avec Estelle dans les bras, laissant le vieux Bonnemort broyer lentement ses pommes de terre, tandis que Lénore et Henri se battaient pour manger les pelures tombées.
Au fait, cela nous occupa tous deux durant la journée entière ; enfin nous en vînmes à bout, et nous étendîmes la peau sur le toit de notre cabine. Le soleil la sécha parfaitement en deux jours.