L'aide internationale n'est plus acheminée, la famine menace et une pratique s'intensifie, celle de la vente d'enfants par des familles pour couvrir leurs dettes.
Cela consiste à ne pas rembourser la dette en numéraire, en argent si vous préférez, mais à distribuer des bons aux créanciers pour les deux tiers de la somme.
Un discours inaudible pour cette association de défense des locataires qui évoque de la délation et rappelle qu'il existe des recours légaux en cas d'impayés.