Les rues étaient désertes, la grande ville dormait encore, une douce fraîcheur courait dans ces quartiers que le bruit des hommes allait envahir quelques heures plus tard.
Cette zone a été choisie parce qu'il y a de la place, parce que les éoliennes peuvent s'intégrer dans le paysage, mais surtout parce que le vent souffle.
L’horizon était admirablement dessiné, et la mer, ondulant sous une brise molle, présentait à son arrière-plan l’immobilité des eaux d’un lac, piquetées çà et là de paillons lumineux.