A ce moment, LI Tiedan qui avait marché quelques heures, transpirait beaucoup et marchait de plus en plus lentement.Le sac de jute sur ses épaules était de plus en plus lourd.
Girard passa sa blouse neuve, noua son mouchoir autour des abricots, et marchant à grands pas lourds dans ses grosses galoches ferrées, prit tranquillement le chemin d’Yonville.
En bas, ils se trouvèrent seuls. Des étoiles rouges disparaissaient au loin, à un coude de la galerie. Leur gaieté tomba, ils se mirent en marche d’un pas lourd de fatigue, elle devant, lui derrière.