5.C'est dans les phases initiales de l'intervention de la force publique et des services d'urgence que le risque d'altération des lieux du délit est le plus important.
6.On ne peut pas permettre de souiller la mémoire des victimes innocentes en qualifiant les terroristes de « combattants de la liberté » ou de « défenseurs de la foi ».
7.Ils inspectent en outre les véhicules et les marchandises, les indications qui y sont apposées conformément aux normes internationales et contrôlent le niveau de contamination au moyen d'appareils techniques.
8.Trop souvent, par le passé, les positions prises par les Nations Unies ont nui à la crédibilité de l'Organisation et ont miné notre capacité à jouer un rôle positif dans le processus de paix.
9.M. Eriksen (Norvège) dit que, quelles que soient les circonstances, il ne doit pas y avoir d'impunité pour les infractions graves, parce que l'impunité ne peut que nourrir la méfiance et ternir l'image de l'Organisation.
10.Le personnel qui coordonne l'intervention de la force publique devrait être conscient de ce risque et prévenir en conséquence les personnes qui interviennent, notamment les autres responsables de la force publique et le personnel maritime.
11.Bien que ces crimes ne soient commis que par un nombre réduit d'individus, leurs abus entachent le service loyal et professionnel de nos valeureux soldats de maintien de la paix, qui mettent quotidiennement leurs vies en danger pour autrui.
12.Ils se caractérisent par leur incapacité à agir avec efficacité lors de troubles sociaux ou politiques, d'actes de terrorisme, d'extorsions ou d'activités criminelles à l'égard des femmes; leurs conditions de travail sont mauvaises et leur formation dépassée, et leur réputation est entachée de corruption, d'abus de pouvoir, d'impunité et d'ingérence politique.