Les colons s’avancèrent donc prudemment vers la pointe nord, en marchant sur un sol criblé de petites fondrières, qui formaient autant de nids d’oiseaux aquatiques.
À moins de démonter la machine pièce à pièce, il fallait renoncer à la tirer de la fondrière. Or, l’outillage manquait, et l’on ne pouvait entreprendre un pareil travail.
Le talus du volcan offrait des pentes très-roides ; nous glissions dans de véritables fondrières de cendres, évitant les ruisseaux de lave qui s’allongeaient comme des serpents de feu.
Ils foulaient du pied un sol sablonneux, mêlé de pierres, qui paraissait dépourvu de toute espèce de végétation. Ce sol, fort inégal, très-raboteux, semblait en de certains endroits criblé de petites fondrières, qui rendaient la marche très-pénible.
Il avait mieux aimé traverser la fondrière, avec son fardeau, et ses efforts ont dû être effrayants, il est impossible de risquer plus complètement sa vie ; je ne comprends pas qu’il soit sorti de là vivant.