On a exprimé l'avis que certains pays industriels étaient soumis à une surveillance rigoureuse qui avait des répercussions considérables sur leurs politiques.
Elle invite les autres nations industrialisées à suivre son effort d'ouverture commerciale vis-à-vis des produits manufacturés en provenance des pays en développement.
Il faut, à ce sujet, souligner l'incohérence entre les discours des pays industrialisés vantant le libre-échange et leur application continue de politiques protectionnistes.
Les asymétries d'une économie mondialisée aggravent la situation, les capitaux, les technologies et les compétences restant concentrés dans les pays industrialisés les plus avancés.
Les pays industrialisés doivent supprimer les contraintes artificielles qu'ils font peser sur les marchés émergents et s'abstenir de limiter de façon drastique l'accès au crédit.
À cet égard, nous soutenons la création de cinq nouveaux sièges permanents dont deux seraient accordés aux pays industrialisés, et trois aux pays en développement.
Parmi ces facteurs, on citera la modification de la situation financière des pays industrialisés, le comportement procyclique des marchés financiers, ainsi que les effets de contagion.
En d'autres termes, cette spécialisation fait que les pays industrialisés restent spécialisés dans l'industrie et deviennent de droit les seuls bénéficiaires de ses effets dynamiques cumulatifs.
Plus généralement, le niveau actuel d'endettement du secteur privé dans les principaux pays industrialisés est relativement élevé, vu la phase où en est le cycle conjoncturel.